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Le petit coq fait de l’ombre au no 4.

Ah, la basse-cour politique ! Un vrai cirque, où les coqs se disputent les perchoirs et les poules caquettent dans un chaos sans fin. Cette fois, c’est le partage des tickets qui fait suer tout ce beau monde. On se croirait dans un épisode de “Koh-Lanta”, mais avec des cravates et des promesses de campagne. Tout le monde veut un ticket, mais, hélas, la couveuse est trop petite pour contenir toutes ces ambitions gonflées à l’hélium.

Et voilà qu’arrive la dernière comédie : il faut faire de la place pour le petit coq au numéro 4 ! Ah, ce petit coq… Tout jeune, tout fringant, avec ses plumes bien lustrées, prêt à conquérir le monde. On raconte qu’il a été choyé par le vieux coq en chef, qui voit en lui son digne héritier. Mais que faire ? Il n’y a que peu de tickets, et chaque place est déjà jalousement gardée par des vétérans, qui ont passé des années à se battre bec et ongles pour maintenir leur territoire.

Alors, on murmure dans les coins sombres de la basse-cour. Certains devront être sacrifiés pour permettre au petit coq de briller. Et là, c’est la panique générale ! Les grosses poules commencent à se rebeller, les dindons gloussent de mépris, et les pigeons politiques volent dans tous les sens, cherchant désespérément un nouveau nid douillet. Mais bon, c’est le jeu, non ? Il faut parfois plumer quelques-uns pour laisser les autres voler.

Et pendant ce temps, le petit coq parade, inconscient du chaos qu’il sème, persuadé qu’il est le futur roi de la basse-cour. Mais attention, petit coq, trop de confiance peut te faire finir en coq au vin plus vite que prévu !

 

 

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